Contrebandier intergalactique aux manettes d’un certain Faucon Millenium, archéologue impétueux au chapeau fedora et blouson de cuir, ou bien traqueur d’androïdes dans une sombre dystopie mélancolique ; Harrison Ford s’est imposé au travers de ses plus grands rôles comme l’aventurier du cinéma américain.
Que ce soit il y a bien longtemps dans une galaxie lointaine, très lointaine, dans la jungle d’Amérique du Sud ou encore dans un futur obscur, il a su acquérir aux yeux du monde entier le statut de l’aventurier fougueux et irrésistible par excellence. Car c’est là le point commun de la plupart des personnages iconiques qui l’ont rendu culte auprès de plusieurs générations, des années 80 jusqu’à aujourd’hui : Ford toujours s’immisce dans un monde nouveau, inconnu et dangereux, où il doit faire face aux sarbacanes des indigènes comme aux sabres-laser des Siths.
Mais peut-on résumer 60 ans de carrière en quelques grands rôles dans les plus grosses sagas et superproductions de ces dernières décennies ? Bien qu’Han Solo et le professeur Jones aient considérablement influencé la perception de l’acteur Ford par ses contemporains, ne peut-on expliquer son succès que par les mythes qu’entretiennent ces franchises ? En bref, comment Harrison Ford est t-il devenu l’une des figures les plus appréciées d’Hollywood ?
Au sommaire…
- Des planches de son lycée au festival de Cannes : la vie d’Harrison Ford en 3 actes
- Les immanquables de la filmographie d’Harrison Ford
- Mission impossible 7, Oppenheimer… d’autres blockbusters de l’été à ne pas manquer
Des planches de son lycée au festival de Cannes : la vie d’Harrison Ford en 3 actes
A 12 ans, bien loin des succès du Truman Show, de The Mask et de Bruce-tout-puissant, Jim Carrey subvenait seul dans sa caravane aux besoins de sa famille. Avant d’incarner 5 fois l’agent secret James Bond de 2006 à 2021, Daniel Craig dormait sur des bancs. Il y a 50 ans, Tom Cruise grandissait sous le même toit qu’un père violent dans un quartier pauvre de la banlieue d’Ottawa.
Vous voyez là où je veux en venir ? Rien ne prédestinait la plupart de ceux qui sont aujourd’hui les plus grandes stars à devenir des icônes, des modèles pour des générations entières.
Le succès d’un acteur est en fait souvent (au delà de son génie et de son travail) une succession de petits coups de chance, de “au bon endroit au bon moment”, de rencontres avec des réalisateurs ambitieux parfois inconnus du grand public qui, en devenant par la suite des George Lucas ou des Steven Spielberg, propulsent leurs amis acteurs débutants au rang de tête d’affiche et de star internationale.
Et c’est précisément à notre bon vieux papi Ford auquel je fais référence dans ce dernier paragraphe : lui même se définit souvent comme un « veinard ». Et c’est vrai que bien que très jeune intéressé par le théâtre et le cinéma, l’accès aux rôles cultissimes pour lesquels on le connaît aujourd’hui a été pour l’acteur une suite de jolis coups de pouce du destin…
Des débuts entre danse, théâtre, petit rôles et charpenterie
Elève hyperactif, Harrison Ford compense au collège ses résultats moyens par sa participation à de nombreux clubs de son établissement : président du club de sciences sociales et délégué de sa classe, il participe également aux ateliers de théâtre, de danse et même de gymnastique. Il est aussi membre du club de modélisme ferroviaire et devient par la suite la voix de la radio de son lycée.
Mais c’est en prenant des cours d’art dramatique pour augmenter sa moyenne générale à l’université qu’il commence sérieusement à envisager une carrière d’acteur. Alors évidemment, à l’époque plus encore qu’aujourd’hui, la destination incontournable de tout rêveur ambitieux désireux de se faire un nom dans le métier, c’est Hollywood.
Il quitte donc le Wisconsin en 1964 dans l’espoir de trouver sa place dans la capitale du cinéma américain. Et après 2 interminables années de petits jobs et de castings, il décroche le Graal : une petite minute d’apparition dans le film “Un truand” de Bernard Girard. Enfin !
On demande M. Ellis ! On demande M. Ellis !
Harrison Ford dans “Un truand”, 1966.
Petite désillusion, il n’apparaît même pas dans les crédits de ce film qui n’est d’ailleurs pas du tout passé à la postérité…
Mais, tout en suivant une formation de charpentier, l’acteur peu à peu se trouve une place dans la jungle hollywoodienne : il tourne dans les films “La Poursuite des tuniques bleues” en 1967 et “Zabriskie Point” en 1970 et cette fois-ci, son nom est bien au générique.
Cependant, les quelques cachets qu’il obtient pour de petites apparitions dans des séries télévisées ne suffisent plus à le faire vivre, et sa famille a aussi besoin d’aide financière :
– Hey, salut fiston… écoute, on t’a laissé tranquille dans ton délire californien, maintenant il faudrait peut-être que tu nous fasses profiter de l’immense richesse que tu as dû accumuler en devenant la grande star que tu nous as fait miroiter avant ton départ… t’en dis quoi ?
– Euh… Je veux dire oui bien sûr… Bon, vous savez quoi, j’ai un plan : pas mal de gens à Hollywood me connaissent et j’ai fraîchement acquis des compétences en charpenterie (je vous expliquerai ça plus tard)… ils pourraient peut-être m’embaucher sur leurs plateaux, pour travailler sur les décors, non ?
– Mon fils, mon fils… [soupir]
Retranscription très précise d’une conversation imaginaire entre Harrison et ses parents.
Bon, je ne suis pas certain que les choses se sont exactement passés comme ci-dessus, mais une certitude demeure : jamais une soudaine vocation pour la charpenterie n’a été aussi opportune et salutaire que celle d’Harrison Ford.
Les salutaires rencontres-bricolage avec George Lucas qui ont lancé sa carrière
En effet, bien que l’acteur n’ait finalement pas beaucoup travaillé sur les décors des films, on l’a au contraire beaucoup sollicité dans les maisons de leurs producteurs ! C’est ainsi qu’un beau jour de 1972, Harrison est en train de terminer un chantier au Samuel Goldwyn Studio. Il y a été embauché sous les conseils de son propre ami, Fred Roos, directeur de casting d’Universal, chez qui Ford a déjà fait plusieurs travaux.
Mais ce studio est aussi le repère d’un certain George Lucas, futur réalisateur de Star Wars et encore un parfait inconnu du grand public à ce moment là. D’ailleurs, Ford tout comme Lucas resteront fidèles à ce studio qui sera le lieu de tournage du premier volet de Star Wars par la suite, puis celui du film “Les Fugitifs” d’Andrew Davis en 1993, avec Harrison Ford et Tommy Lee Jones en tête d’affiche.
Les trois hommes discutent un moment, et devinez comment termine la conversation ? Eh bien il s’avère que George Lucas a lui aussi quelques bidules a réparer chez lui, et propose au jeune charpentier de s’en charger.
Évidemment, cette rencontre est décisive dans la carrière d’Harrison Ford et marque le début d’une lente et progressive ascension de l’acteur vers les premiers rôles tant convoités. À ce moment là, personne ne l’imagine (y compris George Lucas lui même !), mais on est à seulement 5 ans du phénomène Star Wars !
En attendant, c’est pour son deuxième film, “American Graffiti“, que le réalisateur donne au jeune acteur un rôle secondaire mais bien visible qui lui permet de se faire remarquer auprès du grand public avec, déjà, un chapeau de cow-boy qui rappelle étrangement celui d’Indiana Jones :
Personne d’autre ne veut faire un tour ?
Harrison Ford dans “American Graffiti”
Et les folles aventures de l’acteur-bricoleur ne s’arrêtent pas là. Après le succès d’American Graffiti, il tourne notamment dans plusieurs films de Francis Ford-Coppola (le fameux Apocalypse Now notamment). Mais c’est évidemment le rôle d’Han Solo dans “Star Wars” en 1977 qui le propulse directement au sommet de sa gloire. Harrison Ford obtient le rôle grâce à un coup de pouce de son ami Fred Roos (encore lui !).
En effet, alors qu’en 1976 George Lucas cherche des acteurs pour son projet de guerre intergalactique, Roos cherche à le convaincre que Ford est parfait pour le rôle du sarcastique contrebandier Solo. Mais Lucas n’est pas emballé : il souhaite tourner avec des nouveaux visages. Roos organise alors un plan, et puisqu’on ne change pas une affaire qui marche, il fait encore appel aux qualités de menuisier de Ford.
C’est ainsi que le jour des auditions pour le rôle de la princesse Leia notamment, un jeune bricoleur de 34 ans est en train de changer une porte dans les studios du casting. Et paf : George Lucas passe par là et, reconnaissant son ancien acteur, lui demande s’il ne pourrait pas donner la réplique aux prétendantes du rôle. À la fin d’une épuisante journée à répéter des dizaines de fois le texte d’Han Solo, Ford est lassé, il déclame ses répliques avec cynisme et sarcasme. George Lucas se rend alors à l’évidence : le ton railleur d’Han Solo est né, Harrison Ford est pris pour le rôle qui va changer sa carrière.
Blockbusters, diversification et reconnaissance internationale
Habitué aux cachets de 115 dollars/semaines qu’il touchait lorsqu’il tournait pour la télévision et en comparaison aux 600 dollars que lui ont rapporté American Graffiti, le salaire de 650 000 dollars qu’il reçoit pour la première trilogie “Star Wars” lui permet d’abandonner sans regrets la charpenterie et de se consacrer pleinement à sa carrière artistique.
Après “L’Empire Contre-Attaque“, deuxième volet de la franchise Star Wars qui sort en 1980, il devient une autre légende du cinéma américain, en incarnant le professeur Jones dans “Les aventuriers de l’Arche perdue“.
Désormais bien installé au sommet du cinéma mondial par ces deux sagas ultrapopulaires, les années 80 sont pour lui l’apogée de son succès : il joue notamment dans “Blade Runner” de Ridley Scott, “Frantic” de Roman Polansky et incarne même le proviseur de l’école dans une scène coupée au montage de “E.T., l’extraterrestre” de Steven Spielberg !
Son succès se poursuit ensuite dans les années 1990, avec notamment “Le Fugitif” d’Andrew Davis ou il offre un jeu d’acteur plus sombre et intimiste, ou encore le blockbuster “Air Force One“.
Cependant, le passage au XXIème siècle marque pour lui un éloignement des gros succès mondiaux. Pour raviver la flamme, il fait donc appel à ses succès passés, en tournant dans plusieurs suites de films qui l’avaient amené au sommet. Ce retour aux sources commence en 2008 avec la sortie de “Indiana Jones et la Royaume du Crâne de Cristal”, puis c’est au tour de Star Wars de faire son grand retour avec une nouvelle trilogie en 2015. Il reprend également le personnage de Rick Deckard en 2017 dans “Blade Runner 2049”, 35 ans après le premier opus.
Bien qu’il n’ait jamais remporté le moindre Oscar, Harrison Ford a néanmoins fait l’objet de nombreuses récompenses du monde du cinéma pour l’ensemble de sa carrière, comme au cours du festival de Cannes 2023, en mai dernier, lorsqu’il recevait à l’occasion du tout nouveau “Indiana Jones et la Cadran de la destinée” la palme d’or d’honneur dans une longue standing-ovation :
Vous avez donné un but et un sens à ma vie.
Harrison Ford au monde du cinéma à Cannes en mai 2023
Eh ben… il l’aime le cinéma, Harrison ! Mais pas que : parallèlement à sa carrière d’acteur, Harrison Ford passe lui aussi son temps dans les airs ! Il dispose en effet d’un brevet de pilotage depuis 1996 et possède tout une flotte de petits avions et hélicoptères, ce qui entre un peu en contradiction avec son engagement pour l’environnement.
Enfin bref. Parenthèse refermée, Harrison Ford restera celui qui a su piloter son Faucon Millenium pour imprimer durablement son nom dans le cinéma mondial à grands coups de lasso.
Les immanquables de la filmographie d’Harrison Ford
Star Wars, 1977-2019 (5 films avec Harrison Ford)
Sorti en 1977, “Star Wars : Un nouvel espoir” est le premier épisode de ce qui deviendra par la suite la plus grande franchise de l’histoire, et ce en révolutionnant l’industrie cinématographique avec ses effets spéciaux avant-gardistes pour l’époque. Harrison Ford y joue le rôle d’Han Solo, le chasseur de prime nonchalant et égoïste qui se retrouve bien malgré lui impliqué dans un combat acharné contre le “côté obscur de la Force” aux côtés de Luke Skywalker (Mark Hamill), la princesse Leia (Carrie Fisher), et Obi-Wan Kenobi (Alec Guinness).
Au cours de cette lutte, le contrebandier risque sa vie à de nombreuses reprises. D’ailleurs, savez vous que le personnage d’Han Solo a failli mourir deux fois ? En effet, alors que le deuxième opus est en cours de tournage en 1979, Ford vient de décrocher le rôle d’Indiana Jones, auquel il souhaite pleinement se consacrer.
Il demande alors à George Lucas de tuer le personnage d’Han Solo, ce qui n’était pas du tout dans les plans du réalisateur, qui ne voulait pas se séparer d’un de ses personnages les plus populaires avant le troisième volet. Les deux hommes trouvent alors un compromis provisoire : Solo est fait prisonnier et cryogénisé.
Son retour a lieu dans le troisième film sorti en 1983, dont le point d’orgue est la bataille finale d’Endor (vous savez, celle avec les petits Ewoks dans la forêt…). Et à nouveau, Harrison Ford, désireux d’offrir une fin héroïque à son personnage, aurait fait part de sa volonté de faire mourir Solo dans cette bataille… ce qui n’a pas eu lieu pour une histoire de produits dérivés.
Indiana Jones, 1981-2023
L’autre personnage qui a fait le succès d’Harrison Ford vient aussi de l’esprit de George Lucas ! Sauf que, problème, il est déjà bien occupé avec les suites de son bébé : Star Wars. Ni une, ni deux, Spielberg se propose de réaliser le film, et de garder Lucas au rôle de producteur. Mais très vite un petit désaccord s’installe au sujet de l’acteur qui tiendra le rôle titre. Steven Spielberg est convaincu que Ford est parfait pour le job, tandis que Lucas, on le rappelle, préfère les nouveaux visages et ne veut pas de confusion entre Solo et Jones ! Mais après avoir déjà fait une entorse à ses principes en donnant à Ford un rôle dans Star Wars après American Graffiti, pourquoi pas en faire une deuxième ?
C’est ainsi que quelques mois plus tard, Harrison Ford débarque sur le tournage du premier volet de la saga culte. Et quel tournage! Vous vous souvenez de la première séquence du film, quand Jones s’enfuit d’un temple après y avoir dérobé une statuette en or, avec un énorme rocher à ses trousses ? Et bien cette scène a été faite sans doublage : même si le rocher en question était en fibres de verre et ne pesait “que” 120 kilos, c’est bien Ford qui a dû refaire la scène une quinzaine de fois le temps que Spielberg obtienne la scène qu’il souhaitait, devenue l’une des plus emblématique de la saga.
Parmi les nombreuses autres anecdotes de tournage, on note aussi l’utilisation de tuyaux d’arrosages pour remplacer les milliers de serpents qui effraient tant Jones dans le puit des âmes. D’ailleurs, on peut apercevoir une petite référence à Star Wars sur les murs sur les murs de ce dernier, un hiéroglyphe représentant C-3PO et R2D2. Enfin, Spielberg est également connu pour son utilisation de miniatures, ayant l’avantage d’être économes en argent comme en temps, ce qui donne des photos assez amusantes :
Blade Runner, 1982
Ce film de Ridley Scott est certainement l’un des films de science-fiction les plus emblématiques des années 80. Bien qu’il n’ait bénéficié à sa sortie ni d’un accueil critique chaleureux ni d’un succès au box-office, il est devenu avec les années une référence absolue du genre. Le tournage fut chaotique, marqué par des conflits entre le réalisateur et Harrison Ford et surtout par des pressions de la production qui a exigé le changement de la fin de l’intrigue et l’ajout de plusieurs scènes. La sortie d’une version “director’s cut” en 1992, c’est-à-dire conforme au projet initial de Ridley Scott, a permis à Blade Runner de renouer avec le succès. Par ailleurs, le film d’anticipation qui suit un policier à la recherche d’androïdes est souvent acclamé pour son atmosphère sombre novatrice et ses effets spéciaux à l’heure où les ordinateurs faisaient tout juste leur apparition.
Le Fugitif, 1993
Harrison Ford interprète dans ce thriller le docteur Richard, un chirurgien accusé à tort du meurtre de sa femme. Après une évasion spectaculaire lors d’un accident de bus pendant son transfert vers la prison, il devient un fugitif déterminé à prouver son innocence et à trouver le véritable coupable. Il est poursuivi par un Marshal déterminé joué par Tommy Lee Jones. Le succès au-box office du film et son bon accueil critique ont contribué à relancer la carrière d’Harrison Ford alors ralentie après la fin des trilogies “Star Wars” et “Indiana Jones”. Petite anecdote, l’acteur a du pour ce film renoncer au rôle du professeur Alan Grant dans Jurassic Park, qui a finalement été repris par Sam Neil. Et oui, Harrison Ford a manqué de peu l’occasion d’être le héros d’une troisième saga populaire, mais ça a donné à la place cet excellent thriller des années 90.
Apocalypse Now, 1979
C’est en 1976 qu’Harrison Ford tourne ses courtes apparitions dans ce chef d’œuvre de Francis Ford Coppola, qui se place au sommet des films de guerre. C’est de la guerre du Vietnam dont il est question ici, mais le film, considéré comme l’un des meilleurs de tous les temps, aborde surtout les conflits moraux et la folie humaine. Même s’il n’y joue qu’un rôle mineur dans la peau du colonel Lucas, c’est incontestablement un film culte que Ford peut ajouter à sa filmographie. L’acteur y est ici froid et sérieux, bien loin des rôles plus légers qui l’ont fait connaître auprès du grand public.
Witness, 1985
Ce film de Peter Weir, présenté en ouverture du festival de Cannes en 1985, reçoit 8 nominations aux Oscars (rien que ça !) dont 2 récompenses : l’Oscar du meilleur scénario original et l’Oscar du meilleur montage. Et c’est vrai que Witness est surement l’un des films les plus subtils et intimistes de la filmographie d’Harrison Ford. Ce n’est quand même pas un film d’auteur mais on s’éloigne du blockbuster. L’acteur incarne ici John Brook, un détective de Philadelphie chargé de protéger un jeune amish témoin de meurtre. Le film combine alors thriller policier intense, romance et exploration culturelle dans un mélange des genres original pour un divertissement subtil et déroutant.
Et bien sûr, pour revenir aux fondamentaux, le professeur Jones est de retour en ce moment en salles avec “Indiana Jones et le cadran de la destinée”. Dans cet adieu au célèbre archéologue pilleur de tombes, Ford nous réserve quelques surprises, avec notamment une longue séquence d’ouverture de 25 minutes dans laquelle l’acteur semble retrouver sa jeunesse grâce à la magie du numérique…
Et si vous l’avez déjà vu, jetez un œil (ou deux) sur cette petite sélection de ce que le cinéma a de mieux à vous proposer cet été, juste… ici.
Bonnes séances !
Nolann.
Merci Nolann, article ludique et instructif comme je les aime.
Le dernier Indiana Jones regorge de références au premiers épisodes de la saga et Harrison Ford semble immortel! Très bon article.
Bon document et belles anecdotes sur la cariere d’Harisson Ford…. « Être au bon endroit au bon moment « est applicable dans tout chemin de vie!